autobiographie

Je suis née au Vénézuéla près du fleuve de Gwadada. D’après les récits de ma famille adoptive j’ai été abandonnée lors d’une nuit froide dans un panier en osier.

Ils sont explorateurs et c’est lors d’un voyage qu’ils m’ont retrouvés frigorifiée mais pas terrifiée d’être seule.

Mes parents s'exclamèrent aussitôt que j’étais certainement un don de Dieu, que tout cela n’était pas un hasard. Il ne pouvait que me garder, l’idée de me laisser là ne leur a pas effrôlés l'esprit. Et c'est ainsi que j'ai rejoint la France, Paris éxactement ou j'ai eu une enfance comme toutes les autres sauf pour une chose...l'école.

Mes débuts à l'école furent difficile car la langue, la culture, la nourriture de ce pays m'était inconnu. Le regard des autres m'a pesé pendant des années surtout à l'école, les enfants ne sont pas tendres entrent eux je l'ai tres vite compris.j'ai travaillée chaques jours de plus en plus pour rattraper mon retard même si certain moment fut difficile, ou la force m'abandonnait j'ai continué avec l'aide de toute cette nouvelle famille pour être la première de la classe. Malgré tout ça je ne trouvai une passion, un "booster" qui finirai de remplir ma vie jusqu'à ce moment, cet objetqui allait changer ma vie...

Une boîte de gouache offerte par mon oncle me révéla a moi même et autres. quand je l'ai vue devant mes yeux si belle si parfaite et si pleine de couleur elle m'a parut omme une évidence je devais m'en servir. J'ai commencé par de petits modèles puis petit à petit les objets les décors que je voulais peindre devenait de plus en plus grand. Face a cette passion mes parents decidèrent de m'inscrire à des cours du soir. J'étais aux rêves!!!!

Lors d'une belle après-midi je voulus peindre la fille de la voisine mais c'était la première fois que je peignais un modèle vivant,cela fut plus dur que ce que je croyais mais j'y pris goût et c'est ainsi que j'ai continué ma vie, exposant de paris à new-york sans escale entre les hôtels et les galleries d'arts.

Je n'ai jamais eu le temps au début de ma carrière de créer ma propre famille meme ni le temps de cuisiner ou de lire un livre...ce n'est que lors de mon "break" que j'ai lu mon premier livre, j'avais 25 ans. Il s'apelait " 99 francs", je pourrait encore aujourd'hui en faire le résumé, ca ne s'oublie pas.

Seule et encore seule et à cette époque sans mon travail je pensais avoir gâchée ma vie de famille mais je pensais mal. C'est lors d'un dîner entre amis qu'il est venu. Lui aussi comme ma première boîte de gouache est apparût si beau si parfait et si plein de couleur dans l'âme qu'il m'est apparu comme une évidence. Cinq ans d'amour avant que notre premier enfant pointe le bout de son nez et embélisse nos vie

C'est grâce à eux que ma vie pris un réel sens. Moi qui ne pensait qu'à réussir, qu'à gagner de l'argent j'avais enfin retrouver les vrai valeurs de la vie, celle que j'avais perdu entre ma jeunesse et cette rencontre de coeur.

Pourtant tout aurait pu basculer, j'aurai pût finir vieille fille, etre amêr et méchante envers les autres en me pensant supérieure parce que j'avais de l'argent mais j'ai eu de la chance et une bonne étoile.

Maintenant que j'approche de la fin de ma vie je fait le constat et me dit que je viens de loin. Petite fille du Vénézuéla devenu une femme, mère et grand-mère comblée. J'espère avoir rendue fière mes parents, ceux qui m'ont recueillis qui ont fait de moi ce que je suis. J'espère avoir aussi put comblée d'amour mon mari comme il le voulait et que mes enfants grandissent comme j'ai grandie avec la force de vaincre et de réussir.